Tokens non-fongibles : Ogilvy Social.Lab voit l’étendue des opportunités à saisir pour les marques
Les Tokens non-fongibles figurent parmi les tendances les plus en vogue de 2021. Cette technologie constitue un changement de paradigme et une véritable rupture dans la façon dont l’humain évalue l’authenticité d’un produit à l’ère digitale. Dans son dernier Red Paper, Ogilvy Social.Lab examine les opportunités que cet actif numérique crée pour les marques, ainsi que ses risques éventuels.
Bruxelles, le 27 mai 2021 - Les Tokens non-fongibles (NFT, de l’anglais non-fungible token) sont en bonne voie pour devenir une tendance dominante. Pizza Hut, Nike, la NBA, Minecraft figurent parmi les marques pionnières dans l’utilisation de cette technologie. Dans le milieu de l’art contemporain, la célèbre enseigne Christie’s a contribué à faire plus largement connaître les fonctionnalités de cette technologie, en mettant aux enchères une œuvre digitale s’accompagnant d’une garantie exclusive d’authenticité, sous forme d’un NFT.
Mais qu’est-ce qu’un NFT, et quelles sont ses fonctionnalités ? Les Tokens non-fongibles sont des actifs numériques échangeables via crypto-monnaie. Si ces actifs peuvent, en théorie, représenter aussi bien une œuvre d’art qu’un morceau de musique, ils sont néanmoins non-fongibles, c’est-à-dire, non-interchangeables. C’est donc l’aspect unique de ces actifs qui leur confère leur fonction d’authentification.
Pour Ogilvy Social.Lab, cette fonction bien spécifique des Tokens non-fongibles introduit une toute nouvelle dimension dans la boîte à outil du marketing digital. Dans son dernier Red Paper, l’agence passe en revue six cas d’école ayant utilisé cette technologie avec succès. En effet, les plateformes NFT permettent aux annonceurs de créer et de contrôler la disponibilité de contenus digitaux ou de produits physiques rendus uniques par leur authentification dans la blockchain.
Si des marques comme Nike, sont déjà coutumières d’un certain marketing de la rareté, d’après Ogilvy Social.Lab, cette nouvelle rareté digitale promet des implications sans précédent dans la stimulation du désir chez le consommateur pour un produit ou un service. Une série d’opportunités pour les marques, qui ne seront toutefois pas dénuées de certains revers potentiels, dont le plus important identifié par l’agence : le coût écologique de cette technologie.
Tous les détails sont à lire dans notre dernier Red Paper.
Quentin Glodé